Ce comportement qui rend les gens insupportables dans le métro
Le métro, cet espace clos où l'humanité se dévoile sans filtre. Pour beaucoup, c'est un passage obligé du quotidien, une zone de transit où l'on voudrait juste… survivre. Mais non. Il y a toujours ces personnes qui transforment un simple trajet en une épreuve psychologique digne de Koh-Lanta. Aujourd'hui, on va parler de ce comportement insupportable qui rend les gens odieux dans le métro — et surtout, comment éviter de devenir cette personne (ou de l'éliminer mentalement).
1. La règle d'or bafouée : laisser sortir avant d'entrer
Commençons par la base. Pourquoi est-ce si compliqué de comprendre qu'il faut laisser sortir avant d'entrer ? Chaque matin, c'est le même combat : une horde de passagers impatients qui se ruent dans la rame comme s'il y avait des places VIP (spoiler : il n'y en a pas).
- Conséquence : Blocage total, bousculades et râleries généralisées.
- Astuce : Restez sur le côté, regardez les gens sortir (sans les juger… ou si, un peu) et entrez calmement.
2. L'envahisseur d'espace vital
Le métro, c'est aussi une lutte pour l'espace personnel. Et pourtant, il y a toujours cette personne qui trouve intelligent de coller son sac (ou pire, son dos en sueur) contre vous, même quand la rame est vide.
- Le top du pire : Ceux qui prennent une place entière avec leurs affaires.
- Solution : Un regard noir accompagné d'un "Excusez-moi" bien sec fonctionne souvent… ou pas.
3. Le concert improvisé (et non désiré)
Ah, la bande-son du métro. Entre le gars qui met sa musique à fond sans écouteurs (un grand classique) et celui qui décide de jouer de l'accordéon à 8h du matin… On est loin d'un festival de musique.
- Effet immédiat : Une migraine garantie avant même d'arriver au boulot.
- Le mieux : Des écouteurs anti-bruit, un podcast passionnant ou le talent de faire semblant de ne rien entendre.
4. Les conversations téléphoniques intimes (et gênantes)
Vous ne voulez pas connaître les détails de la rupture amoureuse de cette inconnue… et pourtant, vous n'avez pas le choix.
- Pourquoi c'est insupportable : Le métro est un espace public, pas une thérapie de couple.
- La parade : Un bon livre (ou l'envie irrésistible d'intervenir pour donner son avis).
5. La guerre des sièges
Il y a aussi les experts du "je fais semblant de ne pas voir la mamie ou la femme enceinte". Pire encore : ceux qui prennent deux places pour eux et leur sac comme si c'était privatisé.
- Le conseil : Faites semblant de trébucher sur leurs pieds, ça les réveillera (ou pas).
- Option civilisée : Un simple "Excusez-moi, je peux m'asseoir ?"… ça marche (parfois).
6. L'odeur... inoubliable
Parlons-en. Le métro, c'est souvent une expérience olfactive… pas toujours agréable. Entre la personne qui sort d'une séance de sport et celle qui a découvert le parfum "Ail & Oignon", c'est un voyage sensoriel dont on se passerait bien.
- Astuce : Ayez toujours un foulard ou un col roulé stratégique.
- Option ultime : Le menthol sous le nez, comme les pros de la médecine légale.
7. L'accro au téléphone… qui marche au ralenti
Ces gens qui marchent comme des zombies, les yeux rivés sur leur téléphone, bloquant tout le couloir… Une épidémie.
- Résultat : Vous ratez votre train, et eux continuent leur scroll TikTok impassibles.
- Contre-attaque : Une phrase magique : "Pardon, vous avancez ?" (accompagnée d'un sourire poli mais appuyé).
Comment survivre à ces comportements ? Ok, le métro c'est l'enfer, mais il y a des moyens de ne pas devenir fou :
- 1. Prendre du recul (mental) : Imaginez que vous êtes dans un documentaire animalier… ça aide.
- 2. Avoir des écouteurs : La musique ou un podcast peut littéralement sauver votre humeur.
- 3. Pratiquer la "zen attitude" : Respirez, tout le monde souffre (oui, même celui qui vous écrase le pied).
Le métro, miroir de nos petites névroses
Ce qui est fascinant avec le métro, c'est qu'il révèle des comportements qu'on ne retrouverait nulle part ailleurs. Le problème, c'est que parfois… on fait partie du problème sans s'en rendre compte. Alors, la prochaine fois que vous prenez le métro, posez-vous la question : suis-je ce passager insupportable ? Si la réponse est "non", félicitations. Si la réponse est "peut-être", il n'est jamais trop tard pour changer !